Juliette Wytsman (1866-1925)
Si cette toile vous inspire, n’hésitez pas :
à vos claviers pour lui donner un titre, raconter ou commenter.
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Juliette Wytsman (1866-1925)
Si cette toile vous inspire, n’hésitez pas :
à vos claviers pour lui donner un titre, raconter ou commenter.
Arthur Navez (1881-1931)
Si cette toile vous inspire, n’hésitez pas :
à vos claviers pour lui donner un titre, raconter ou commenter.
Alexandre Debrus (1843-1905)
Si cette toile vous inspire, n’hésitez pas :
à vos claviers pour lui donner un titre, raconter ou commenter.
Albert Droesbeke (1896-1929)
A l’ombre des peintres belges célèbres, combien d’artistes méconnus ? On les découvre ou redécouvre parfois longtemps après leur mort, à l’occasion d’une rétrospective ou d’une exposition thématique. Leurs tableaux continuent à rayonner chez ceux qui ont cru en eux de leur vivant, à circuler parmi leurs proches, dans leur famille, ou bien échouent dans une vente aux enchères pour revivre ensuite chez un amateur d’art.
Au fil des ans, des catalogues feuilletés sur la Toile, je me suis constitué une galerie virtuelle. J’ai choisi pour cette série « en vacances » des peintures non contemporaines (comme la plupart des illustrations sur ce blog) parce qu’elles sont libres de droits (il y a plus de 70 ans que ces peintres se sont éteints) et vous verrez que j’ai opté pour la variété plutôt que pour un thème.
Si l’une ou l’autre toile de ces petits maîtres vous inspire, n’hésitez pas : à vos claviers pour lui donner un titre, en raconter l’histoire ou la commenter. En vos mots, comme dirait Lali.
Je vous lirai avec plaisir à mon retour du Midi, où je vais faire le plein de couleurs, de lumière et de parfums. Prenez bien soin de vous.
Tania
« Shawn connaît Shudi depuis l’âge de cinq ans et a vécu de près la tragédie du suicide de son père. Le père de Shudi s’appelait Wang. Pour protéger ses enfants, la mère de Shudi a décidé de leur donner son nom de famille à elle, Li.
« Il vous est arrivé de parler de la mort de son père, plus tard ?
– Non, non, il n’aime pas en parler.
– C’est la première chose qu’il m’a racontée quand nous nous sommes rencontrés.
– C’est parce que vous avez des conversations de train.
– Pardon ?
– C’est une expression qu’un journaliste a employée un jour. Il engageait la conversation avec des inconnus dans un train et pas une seule fois on ne l’a envoyé paître parce que les gens partaient du principe qu’ils ne le reverraient jamais. »
C’est ce que je fais : mener des conversations de train. Sauf que, parfois, elles durent des années. »
Lieve Joris, Sur les ailes du dragon. Voyages entre l'Afrique et la Chine
Lieve Joris avec Li Shudi, qui a vécu des années en Afrique du Sud © Lieve Joris (Source BibliObs)