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bruxelles - Page 29

  • Un geste de la main

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    Main masculine avec bague, art romain, env. Ier-IIe s. après J.-Ch., bronze, 20 cm (Phoenix Ancient Art)

     

     

     

     

     

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    Grande main d’un Bouddha, 15e siècle
    (Thomas Salis)

     

     

     

     

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     © Tom Wesselmann, Study for Gina’s Hand, huile sur toile, 1981, 16,5 x 23 cm
    (Galerie Guy Pieters)

     

     

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    © Jean-Michel Folon, Fontaine aux oiseaux, détail, 2000, bronze, 220 x 230 cm
    (Galerie Guy Pieters)

     

     

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    © Etienne Desmet, Power, 2015, marbre de Carrare, Fantiscritti quarry, 125 cm
    (Francis Maere)

     

     

     

     

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    © Nathalie Latour, Main tenant une grenade sur socle noir, cire, d’après les techniques de ciroplastie du XVIIIe s. (n° 124)

     

     

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    © Nathalie Latour, Main tenant une grenade sur socle noir, cire, d’après les techniques de ciroplastie du XVIIIe s. (n° 126)
    (Porfirius Kunstkammer)

     

     

     

    BRAFA, Bruxelles, 27/1 > 4/2/2018

  • A la Brafa 2018

    La Brafa (Brussels Art Fair) attire chaque année plus de monde à Tour & Taxis, elle donne l’occasion, rare en un seul lieu, d’admirer des merveilles très diverses. La plupart des galeristes autorisent les photos (sans flash, de qualité approximative), ce qui me permet de partager avec vous un aperçu très partiel de ma visite – les œuvres majeures sont illustrées sur le site officiel.

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    Dans les allées décorées d’innombrables orchidées dans toute la gamme du rose au mauve, l’effet spectaculaire est garanti. A l’entrée, une pente herbeuse plantée de muscaris et de petits cyclamens charme par un arrangement plus naturel. D’une fleur à l’autre, voyez ce simple bouquet d’œillets de Levy-Dhurmer : j’ai aimé sa grâce particulière, l’originalité du vase et du cadrage.

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    © Lucien Levy-Dhurmer, Œillets roses

    On apprend beaucoup dans ce genre de manifestation, on y voit par exemple des peintures d’artistes dont ce n’est pas la spécialité la plus connue. Ainsi, de Majorelle, Jeune femme sous les bananiers et Femme de Bamako, aussi chez Ary Jan ; en fait, il ne s’agit pas de l’ébéniste français de l’art nouveau, mais de son fils, Jacques Majorelle, peintre orientaliste.

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    © Jacques Majorelle, Jeune femme sous les bananiers, technique mixte sur papier

    A la galerie Maeght, je découvre des œuvres sur bois (huile et résine amalgamées) du sculpteur belge Raoul Ubac : Septembre I a la douceur du sable. Chez Philippe Heim, trois portraits de jeunes filles à l’encre noire d’Ousmane Sow, dont vous avez peut-être admiré les grandes sculptures sur le pont des Arts à Paris en 1999.

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    © Ousmane Sow, Jeune fille, encre noire, 1996

    Celui qui a eu la gentillesse de partager son invitation avec moi me fait remarquer la présence discrète du roi Philippe derrière nous, qui se dirige dans une autre direction. On dit qu’il collectionne les théières et il n’en manquait pas de très jolies ici et là, comme celles-ci ornée de fleurs en relief (Bertrand de Lavergne). 

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    Au stand de la Fondation Roi Baudouin, Philippe Wolfers est à l’honneur, comme au musée du Cinquantenaire cette année avec l’exposition Horta & Wolfers, à visiter un de ces jours. On présente ici des carreaux céramiques belges de la collection Roberto Pozzo qui en compte plus de 9000, offerts à la Fondation pour en assurer la conservation.

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    Ici une merveilleuse lampe de 1920, là un splendide vase en Imari orné de bronze doré, mais nous avons choisi de nous arrêter surtout aux peintures et aux sculptures. Un petit Max Ernst, Arizona rouge (1955) attire mon attention chez Philippe David. Claude Bernard présente un bel ensemble de quatre toiles de Jacques Truphemus (1922-2017) qui confirme la tonalité singulière, intimiste et si lumineuse du peintre français dont j’ai souvent lu des éloges et dont je vois des oeuvres pour la première fois.

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    Vue d'ensemble des Truphemus au stand de la galerie Claude Bernard

    Au-dessus de la grande allée, des rubans multicolores répondent au festival des décorations florales – la Brafa ne lésine pas sur les moyens pour séduire les visiteurs et encourager les acheteurs. L’ambiance est festive. Beaucoup de visiteurs profitent des banquettes aménagées dans ce grand jardin de l’art sous toutes ses formes.

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    L’art contemporain, qui a le vent en poupe, est de plus en plus présent à la Brafa, peut-être trop ? Beaucoup de galeristes accueillent l’un ou l’autre artiste actuel dans leur présentation, cela pourrait suffire. Christo, l’invité d’honneur cette année, est présent à beaucoup d’endroits avec de grands dessins préparatoires pour ses célèbres « emballages » – des dessins plus attirants, pour ma part, que ses Three Store Fronts installés près du restaurant.

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    © Carole Solvay, Untitled, 2017 (feathers & mixed media)

    Parmi les œuvres récentes, j’ai aimé une étonnante sculpture de Carole Solvay à base de plumes, comme une énorme éponge ; les Strates en acier corten d’Etienne Viard, né en 1954, dont plusieurs sculptures sont présentées chez AB ; à la galerie Maeght encore, un jeu de portes et de vitres au pastel signé Ra’Anan Levy.

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    © Etienne Viard, Strates, acier corten, 80 cm

    Si vous aimez la sculpture animalière, les bronzes, ne manquez pas cette édition de la Brafa, qui en regorge. De nombreux sculpteurs contemporains continuent à représenter les animaux sauvages, les oiseaux, les félins. Ce magnifique Grand chat assis de Patrick Villas, un Anversois né en 1961, est proposé à vingt mille euros à la galerie Herwig Simons.

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    © Patrick Villas, Grand chat assis, bronze

    Parmi les peintres exposés par Francis Maere, centré sur les Belges des XIXe et XXe siècles, Constant Permeke, Emile Claus (ci-dessous), Gustave et Léon De Smet, Gustave Van de Woestyne – du moins connu Carolus Tremerie, une jolie vue du Béguinage de Gand. Plusieurs oeuvres ont déjà présentées ici lors d’éditions précédentes.

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    © Emile Claus, Le hêtre rouge

    Une très belle vue de bateaux sous la neige de Maurice Sys est mise en valeur chez Jan Muller. J’ai admiré des Spilliaert chez plusieurs exposants, dont une Allée bordée d’arbres dans un cadre de bois très bien choisi, à la galerie Lancz, qui montre aussi une rare aquarelle vénitienne tout en bleu, illustrée sur le site de l’exposant.

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    © Maurice Sys, Vue de port

    Laissez-moi vous montrer encore ce superbe vase monumental en onyx flanqué de deux figures en bronze, admiré chez Victor Werner. La galerie Claude Bernard présente aussi un ensemble d’orfèvrerie époustouflant de Goudji, serviteur de la spiritualité dans l’art - une découverte pour moi.

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    Vase en onyx orné de deux figures en bronze, fin du XIXe s., H. 144 cm

    Plus de place ici pour honorer les antiques, Rubens (sa Diane chez Klaas Muller est une des oeuvres-phares de cette année), le XVIIIe, l’art africain, les bijoux… La Brafa ouvre ses portes à Tour & Taxis jusqu’au dimanche 4 février.

  • Houle

    Livre pauvre (66).JPGLivre pauvre (67).JPGGouffres ténèbres

    volcans falaises

    lacs archipels

    deltas méandres

     

     

    Michel Butor, Alain Suby,
    Houle d’un atlas

     

    Les très riches heures du livre pauvre, Bibliotheca Wittockiana
    > 10.09.2017

    (mise à jour 4/9/2017)

  • Des livres pauvres

    Connaissez-vous « les livres pauvres » ? La Bibliotheca Wittockiana expose jusqu’au 10 septembre « Les très riches heures du livre pauvre », une partie de la collection de Daniel Leuwers, critique et poète français. Celui-ci la présente dans une vidéo tournée au Prieuré Saint-Cosme de Ronsard où est conservée la collection complète. Ami de René Char, qui avait réalisé des « manuscrits enluminés » avec les plus grands peintres de son temps, Leuwers a été séduit par cette formule de livres sans éditeur et non commercialisés, à la différence des livres d’artistes.

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    © Michel Butor – André Villers, Affections

    Il s’agit donc de livres « égotistes ». Daniel Leuwers propose à des poètes de réaliser avec des peintres qu’ils aiment de petits livres en duo, sans investissement. Il leur faut du papier correct, non luxueux, à plier de manière à obtenir quatre pages (couverture, texte et peinture, quatrième) ou bien en accordéon. Le poète écrit son texte, le peintre pose ses traits et couleurs : voilà un livre pauvre.

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    © Corinne Hoëx - Roger Dewint, Le grisbi

    En quelques exemplaires seulement (en principe, deux pour l’écrivain, deux pour le peintre, un pour le collectionneur, un pour la demeure de Ronsard). Le livre pauvre s’enrichit d’être hors commerce, sans marchandage, son existence relève du partage et du don. Imaginant d’abord se limiter à une centaine de livres, Daniel Leuwers a passé le cap des 1000 et même des 2000. Arrêter sa collection serait prendre le risque, dit-il, de la « muséification » des livres pauvres, aussi ne lui impose-t-il aucune limite, même si son avenir est incertain.

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    © André Velter - Alexandre Galperine, Un pas

    La Bibliotheca Wittockiana en montre une sélection, de vitrine en vitrine : on peut tourner autour pour en apprécier le recto et le verso. Poèmes courts ou longs, encres ou couleurs, chacun de ces livres pauvres est original dans tous les sens du terme. Les formats varient. Des noms sont plus connus que d’autres : Michel Butor, illustré ici notamment par Geneviève Besse, Annie Ernaux, Michel Tournier, François Cheng, Guy Goffette, Pierre Alechinsky, Hassan Massoudy, …

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    © Michel Butor - Geneviève Besse, Le sapin ardent

    Ici le regard est attiré par une écriture, une mise en page, un dessin, une harmonie, pour le plaisir des yeux et de l’esprit. On est dans l’art sur mesure, le fait main. Ces livres pauvres respirent une liberté totale. Leur fraîcheur est surprenante, on a envie de les toucher, de les tenir en main.

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    © Henri Meschonnic - Hamid Tibouchi, Mes mots comme

    Mme Wittock, qui m’a entendue demander au bibliothécaire, à l’étage, qui a sculpté le magnifique « Livre noir » accroché en bas entre deux fenêtres, a eu la gentillesse de me renseigner. Comme le gigantesque livre en pierre posé devant le musée des Arts du Livre et de la Reliure, cette œuvre superbe est du couple Kubach-Wilmsen. La ligne oblique qui suggère le signet en tissu des beaux livres est une veine naturelle de la pierre sculptée et polie.

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    Sculpture ©
    Kubach-Wilmsen

    Comme à chaque fois, j’aimerais connaître les noms des créateurs de chacune des œuvres qui jalonnent les espaces de la Bibliotheca Wittockiana. Seuls les petits livres-objets en vitrine sont attribués. A l’entrée de la salle d’exposition, les deux grandes pierres levées sont de Pierre Culot. Une liste de légendes serait bienvenue pour ces œuvres du Fonds Michel Wittock.

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    Vue partielle de l'exposition, avec la lectrice en fil de fer de Brigitte Schuermans sous le Livre noir (11/9/2017)

    J’apprends aussi que la sculpture d’une lectrice, particulièrement bien placée près de la fenêtre pour cette exposition, est faite à partir d’un seul fil de fer : se démarquant des nombreuses représentations de lectrices qui regardent ailleurs ou rêvent un livre à la main, celle-ci baisse les yeux vers son livre – elle lit vraiment, à la lumière du jour.

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    © Yasuhiro Yotsumoto
    et Kaori Miyayama, Music score

    Exposée malgré qu’il n’ait pas joué le jeu du livre pauvre, une réponse de Christian Bobin à Daniel Leuwers (adressée au « Cher monsieur du livre pauvre ») explique les raisons pour lesquelles il n’y participe pas – dommage. Yasuhiro Yotsumoto et Kaori Miyayama offrent avec Music score un étonnant livret traversé d’ondes, une interprétation très originale du concept.

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    © Michel-Ange Seretti - Anne Walker, s.t.

    Il vous reste deux semaines pour visiter l’exposition « Les très riches heures du livre pauvre » à la Bibliotheca Wittockiana, un titre inspiré des « Très Riches Heures du duc de Berry ». Elle sera suivie dès le 16 septembre par « Histoires de femmes », une exposition internationale de reliure contemporaine organisée par Ara Belgica. Une autre occasion de visiter ce musée dédié au beau livre et à la reliure, qui cultive l’art de sortir des sentiers battus.

  • La papesse du design

    Qui était donc cette dame omniprésente sur les photos exposées à « Panorama », au Musée ADAM ? Dans son article « Au musée ADAM, le design belge revisité » (La Libre Belgique, 26/6/2017), Alain Lorfèvre présente Josine des Cressonnières.

     

    adam,musée,design,exposition,panorama,belgique,plasticarium,atomium,bruxelles,culture,josine des cressonnières« Si elle ne fut pas la mère du design belge, cette ancienne styliste pour le grand magasin A l’Innovation en fut la « papesse », selon les termes du commissaire d’exposition Thierry Belenger. Née en 1925, d’abord secrétaire du « Signe d’or », label de qualité décerné à partir de 1957 aux créations belges à potentiel international, elle devient secrétaire générale du Conseil international des Sociétés de Design International en 1961 puis directrice du Design Centre à sa création en 1962. A ce double titre, elle va étendre son réseau de contacts – déjà important – et devenir l’ambassadrice du design belge. »

     

    adam,musée,design,exposition,panorama,belgique,plasticarium,atomium,bruxelles,culture,josine des cressonnièresJe n’ai pas trouvé beaucoup de traces de Josine des Cressonnières sur internet. Mes recherches m’ont fait découvrir un blog tenu par des Bruxellois néerlandophones : Brusselblogt.be – « de Brusselse stadblog » (le blog de la ville de Bruxelles). Dans un billet consacré à l’exposition, Thomas y appelle cette styliste « notre Coco Chanel », c’est dire son importance.

     

    Conclusion d’Alain Lorfèvre : « Sa disparition en 1985 marque la fin d’une époque. Le Design Centre ferme moins d’un an après. Seule sa personnalité maintenait l’existence d’une telle instance dans un pays taraudé par ses courants régionalistes. Alors que depuis, les pays scandinaves, l’Italie ou l’Allemagne ont fait du design une image de marque, la Belgique a perdu l’héritage de cette grande dame. »

    Josine des Cressionnières à gauche du prince Albert (roi des Belges de 1993 à 2013)
    à l'inauguration du Design Centre, 1962 (Photo Pol Provost, source ADAM, Bruxelles)

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    adam,musée,design,exposition,panorama,belgique,plasticarium,atomium,bruxelles,culture,josine des cressonnièresAux vacanciers du mois d'août, je rappelle l'exposition
    « ORDRE ET CHAOS, exposition de design

    autour de l’œuvre gravé de Nathalie van de Walle »

    au Château de Ste Colombe en Auxois.
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    (Photos in situ Nathalie van de Walle)