Pause estivale / 4
Pause estivale en images – à vous d’y mettre un titre, des mots, une légende, une histoire, un poème, une lettre…
Comme vous voulez, si vous voulez.
Rendez-vous en août !
Tania
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Pause estivale / 4
Pause estivale en images – à vous d’y mettre un titre, des mots, une légende, une histoire, un poème, une lettre…
Comme vous voulez, si vous voulez.
Rendez-vous en août !
Tania
Pause estivale / 3
Pause estivale en images – à vous d’y mettre un titre, des mots, une légende, une histoire, un poème, une lettre…
Comme vous voulez, si vous voulez.
Rendez-vous en août !
Tania
Pause estivale / 2
Pause estivale en images – à vous d’y mettre un titre, des mots, une légende, une histoire, un poème, une lettre…
Comme vous voulez, si vous voulez.
Rendez-vous en août !
Tania
Pause estivale / 1
Cet été, je vous mets à contribution. Si vous aimez jouer, imaginer, inventer…
Vous fréquentez peut-être Petits papiers, papiers collés…, le blog de Christine, qui a l’art de joindre à ses photographies des intitulés poétiques. Ou celui de Lali, la collectionneuse d’images : régulièrement, elle invite ses lecteurs à se laisser inspirer par une toile, c’est sa rubrique « En vos mots ».
Voici donc une pause estivale en photos, à vous d’y mettre un titre, des mots, une légende, une histoire, une lettre…
Comme vous voulez, si vous voulez.
Rendez-vous en août !
Tania
« C’est l’automne déjà. Et, après les dernières battues des gardes civils et le retour vers le sud des troupeaux transhumants, tout retrouve son ordre et son calme autour de nous : les provisions et le bois pour le feu accumulés tout au long de l’été, le cochon mis à fumer au fond de notre caverne – et de certaines cuisines anonymes de Pontedo et de La Llánava –, les sons de la vallée et des montagnes, la ronde monotone du soleil et de la lune, celle des relèves de la garde civile et notre interminable et ennuyeuse surveillance. Tout sauf nous, chaque jour plus seuls et plus désespérés, chaque jour plus hantés par l’hiver qui s’annonce, comme à l’accoutumée, interminable et féroce et qui, à nouveau, changera ce trou humide en une tanière infecte tout juste bonne pour des bêtes pestiférées. »
Julio Llamazares, Lune de loups