« Ne faites surtout pas la même erreur que moi : se focaliser uniquement sur un seul espace mental, délimité par la famille, l’amour ou le travail, peu importe. Le gâteau du bonheur n’est pas composé d’un ou de deux ingrédients, d’une ou deux personnes, d’une ou deux parts. Il se compose de plus, de beaucoup plus. Autour des éléments essentiels, il faut le remodeler, le recomposer sans cesse, ajouter de nouveaux ingrédients et d’autres saveurs pour garder le goût de la vie. »
Verena Hanf, L’Enfer du bocal
Commentaires
Oh que j'aime cet extrait, si juste.
Garder le goût de la vie... qui change avec l'âge, merci.
Bon week-end Tania
Merci, Colo. Bon week-end à toi aussi.
c'est donc un gâteau qui ne se mange pas ;-)
Mais on peut le partager ;-)
Hé oui, on retrouve la délicatesse de ce joli roman!
N'est-ce pas ?
On comprend bien ce que veut dire l'écrivaine quand on a lu ton billet sur le roman.
Bien sûr, et même si on l'a pas lu, chacun peut y réfléchir, il me semble.
En effet, il n'est pas nécessaire d'avoir lu le livre pour se sentir concernée par cet extrait. L'image est juste.
Un passage à relire régulièrement, pour se mettre en appétit ;-).
Merci pour ce magnifique extrait que j'ai lu avec plaisir. C'est important d'agrémenter le gâteau du bonheur et d'en faire profiter largement autour de soi. Ce gâteau sera savoureux à tout âge.
Bisous et bon dimanche Tania
Heureuse qu'il te plaise aussi, Denise. Bonne après-midi !
Ne dit on pas que les relations sociales, amicales ralentissent le vieillissement. ? Ton billet ne fait qu'apporter de l'eau à ce moulin.
Avis aux amateurs : Ce gâteau a l'avantage de ne pas être calorique, il nous emplit tout simplement d'émotions et.....c'est bon.
Joli commentaire ! Merci, Chinou.
Tellement, mais tellement juste !
N'est-ce pas ? Bonne journée, Claudie.
C'est vraiment tentant... Une belle écriture aussi.
Je vais faire une suggestion d'achat à la Médiathèque en tentant d'être persuasive mais...
Autant essayer, les médiathèques sont souvent trop frileuses, il faut les encourager. Bonne semaine, Marie.