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Le lieu où l’on est…

Meur Bibliothèque de Berlin.jpg« Le lieu où l’on est...  Dans ce roman où je saute sans cesse de sujet en sujet, je comprends à présent pourquoi j’ai eu besoin d’évoquer de plus en plus les lieux où je me trouvais ou que je connaissais – les bibliothèques, les cimetières, le salon de mon appartement parisien et sa table à rallonges, etc. Un réflexe salutaire. A l’ère d’Internet, nous avons l’impression de pouvoir être partout à la fois ; mais rien ne remplace la présence réelle, et – n’en déplaise à Henri, qui ne jure que par les univers virtuels – il n’arrive pas grand-chose d’intéressant dans des lieux qui n’en sont pas. On n’y vit pas de vraies expériences, il y manque le sel de la vie : les perceptions, et l’imprévu. »

Diane Meur, La carte des Mendelssohn

Commentaires

  • "Rien ne remplace la présence réelle" ... De nos jours, beaucoup perdent le contact pour "l'univers virtuel" et ne se voient que pour faire la "bringue" ou se perdre en conversations futiles alors que les échanges de partages des idées et des sentiments est si enrichissant. ...

  • @ K, Aifelle, Colo, Doulidelle : le savoir, le dire, le vivre, le partager, oui !

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