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Un rapport singulier

entre deux chaises,un livre,exposition,villa empain,bruxelles,photographie,vidéo,sculpture,installation,livre,papier,sièges,art contemporain,culture« Objet de culture par excellence, le livre induit dans notre pensée et notre comportement un rapport singulier au temps, au corps, à la vérité et au monde qu’il contient et révèle. Il s’oppose ainsi à l’ordinateur qui diffuse sans commencement ni fin des vérités multiples, provisoires et constamment inachevées.

 

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Son corps organique, fait de peau et de papier, de colle, d’encre et de fils, induit un rapport physique, intime, que nul objet électronique ne pourra jamais offrir. »

 

Dossier de presse : « Entre deux chaises, un livre » , Villa Empain, Bruxelles.

Isabelle Lenfant, Installation de livres, 2009, Galila’s' Collection. Photo : Nicolas Suk
Hilal Sami Hilal, Livre, 2006. Galila's Collection.


 

 

 

 

 

Commentaires

  • hmmm j'aime les livres, leur odeur, leur contact mais je ne suis pas plus d'accord pour déifier l'objet-livre que l'objet-ordinateur ;-)

  • J'adhère complètement à la deuxième citation, il manquera toujours la matière à l'ordinateur, une matière palpable, le toucher, la vue, l'odorat. Je ne peux pas croire à sa disparition complète annoncée par certains.

  • Je crois qu'il ne faut pas les opposer: pourquoi l'existence de l'informatique abolirait-elle inévitablement celle des livres-papier?

    (Une remarque: il y a aussi dans les livres publiés depuis des siècles des " vérités multiples, provisoires et constamment inachevées.")
    Bonne journée Tania.

  • @ Adrienne : L'un et l'autre des instruments, d'accord.

    @ Aifelle : Ce rapport "physique, intime" avec le livre est en effet sans comparaison avec l'utilisation des nouvelles technologies.

    @ Colo : La deuxième phrase m'a fait tiquer, moi aussi. Ce qui est bien observé, c'est la différence de rapport au temps, "sans commencement ni fin" à l'ordinateur, non ? Belle journée, dame Colo.

  • Les deux idées proposées, le rapport singulier (non pluriel) au monde et le rapport physique, intime avec l'objet-livre, font place à l'inachèvement devenu la norme et au provisoire perpétuel. Un devenir marqué par la l'obsolescence de tout, de plus en plus rapide.

    Se poser dans un livre et dire stop.

  • @ Christw : Voilà une (pro)position claire ! Bonne soirée.
    (Votre nom ne renvoie pas à votre nouvelle adresse, pour info, il faut sans doute vous réenregistrer.)

  • Je suis totalement en accord avec la citation... et ne suis pas prête de me débarrasser de mes chers livres en papier. Leur "présence" fait partie des bonheurs de ma vie, rien que ça ;-)

  • @ La bacchante : Vivre et lire, je ne les sépare pas.

    @ Margotte : Oui, Margotte, la présence des livres nous est chère, nous ne nous en passerons pas.

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