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Farandole

Strout poche.jpeg« Olive comprend pourquoi Chris [son fils] n’a jamais eu beaucoup d’amis. Il lui ressemble sur ce plan, il ne supporte pas les bla-bla. Surtout pour avoir  les oreilles qui sifflent dès qu’on leur tourne le dos. Il y a bien longtemps, quand quelqu’un avait laissé devant leur porte un panier rempli de bouse de vache, la mère d’Olive avait dit : « Ne fais jamais confiance aux gens, ma fille. » Cette façon de penser agaçait Henry, mais Henry était agaçant, lui aussi, avec sa naïveté tenace – comme si la vie ressemblait à cette farandole de gens souriants qui s’étalent dans les pages de catalogues de vente par correspondance. »

Elizabeth Strout, Olive Kitteridge

Commentaires

  • Henry est pourtant une crème d'homme ... Dans le deuxième livre, la relation mère-fils est davantage creusée, avec le fils qui exprime son mal-être de toujours à une Olive assez hermétique.

  • En effet. J'ai réservé la suite à la bibliothèque. Bon dimanche à toi, Aifelle.

  • Henry est admirable de patience et d'empathie,
    Bonne semaine, Brigitte, bises.

  • Bonne lecture, Lazuli Biloba.

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