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Tania, le poème est la perfection. Qui a peint l'aquarelle?
L'aquarelle est bien de Sôseki, Jane, près d'un autre haïku que voici :
"Douceur de la soirée printanière
Douceur de s'abandonner
Aux tatamis bleutés"
Une nourriture forte en ce début de journée. Merci !
Bonne journée, Marie.
C'est parfait ! mais j'avoue avoir du mal à me tenir loin du monde en ce moment. Je sens que je suis trop entamée ...
Je comprends. Revienne le temps des rencontres, des déplacements libres... 2° ici ce matin, brr. Courage, Aifelle.
Magnifique haïku et aquarelle.
Merci Tania et belle journée
Avec plaisir, Denise. A toi aussi.
Son cœur est libre, 1914! Partout, la guerre va éclater. Cette date me donne des frissons. Tant de contrastes entre ses mots et ce moment- là... ("Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure -pensée des navajos, dans le livre que je lis...)
C'était le dernier printemps avant la première guerre mondiale, en effet, au Japon, avant le fameux coup de feu du 28 juin 1914 à Sarajevo.
Merci Tania, c'est toujours un bonheur de lire un Haïku, de plus illustré par son auteur !
Ravie que tu le ressentes aussi, Claudie.
J'ai acheté "Oreiller d'herbes" j'ai hâte de pouvoir le lire... Bises du mardi. brigitte
Commentaires
Tania, le poème est la perfection. Qui a peint l'aquarelle?
L'aquarelle est bien de Sôseki, Jane, près d'un autre haïku que voici :
"Douceur de la soirée printanière
Douceur de s'abandonner
Aux tatamis bleutés"
Une nourriture forte en ce début de journée. Merci !
Bonne journée, Marie.
C'est parfait ! mais j'avoue avoir du mal à me tenir loin du monde en ce moment. Je sens que je suis trop entamée ...
Je comprends. Revienne le temps des rencontres, des déplacements libres... 2° ici ce matin, brr. Courage, Aifelle.
Magnifique haïku et aquarelle.
Merci Tania et belle journée
Avec plaisir, Denise. A toi aussi.
Son cœur est libre, 1914! Partout, la guerre va éclater. Cette date me donne des frissons. Tant de contrastes entre ses mots et ce moment- là... ("Choisis bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure -pensée des navajos, dans le livre que je lis...)
C'était le dernier printemps avant la première guerre mondiale, en effet, au Japon, avant le fameux coup de feu du 28 juin 1914 à Sarajevo.
Merci Tania, c'est toujours un bonheur de lire un Haïku, de plus illustré par son auteur !
Ravie que tu le ressentes aussi, Claudie.
J'ai acheté "Oreiller d'herbes" j'ai hâte de pouvoir le lire... Bises du mardi. brigitte
Chouette, bon cheminement... Bises en retour.