« Elle savait que Clem avait raison, qu’on laissait les gens sortir d’ici. Elle l’avait vu de ses propres yeux : la façon dont leur visage changeait quand elles savaient. Mais à présent, assise là dans la salle commune au fil des vendredis, à regarder les femmes se préparer, elle avait peur. La croyaient-ils toujours folle ? Qui connaîtrait les choses qu’elle avait en elle si elle restait dans cet endroit ? Elle n’avait personne pour prendre sa défense ici, nul être pour se faire son écho, rien pour expliquer qui elle était ou aurait pu être. »
Anna Hope, La salle de bal