« Le langage de l’imprimerie, qui n’y voit pas malice, nomme « les belles pages » ces clairières blanches où le texte, refoulé, ne commence qu’à mi-feuillet. J’ai bien envie – il est vrai que c’est sur le tard – d’appeler « beaux jours » les jours où le travail, la flânerie, l’amitié se faisaient la part large, au détriment de l’amour. »
Colette, La lune de pluie, Mille et une nuits, 2000, page 20.
Commentaires
Colette... Ah la la .... Je me souviens avoir, un temps, acheté mon papier dans une imprimerie place Maubert à Paris, le même papier, bleu, que Colette utilisait....
J'attends la suite, donc.
Bonne journée.
colette, à lire et relire, sans hésiter :)