« Il y a dans les estampes japonaises un art des cadrages, de la distribution de la tache dans l’espace de la feuille, une absence de perspective, une vision frontale qui est le propre de l’art moderne, une synthèse colorée, décorative, qui lie figures et paysages, un sens de l’arabesque, qui apportèrent un air frais et nouveau dans la peinture, dont l’influence s’étend des impressionnistes jusqu’à Rodin, Matisse, Klimt ou même Viallat, et qui rejoignent en partie l’objet de mes préoccupations. »
Catalogue De Renoir à Picasso, Regard sur une donation, MAC Saint-Martin, Château des Adhémar, Montélimar, 2018.
Utagawa Kunisada, Sawamura Tosshô I (gauche) et Iwai Tojaku I (droite)
dans la pièce "Sono mukashi koi no edozome" au théâtre Kawarazaki (1839),
Xylographie en couleurs - diptyque.