« Pour soutenir un ami dans l’adversité et l’inciter à prendre son mal en patience, à résister… en attendant le bon moment pour réagir. Gaston fait partie de ce lot de prénoms démodés dans lequel on puise pour répondre aux nécessités ludiques de la rime. Cette coloration désuète du prénom donne presque toujours une nuance goguenarde à la formule.
Tiens bon, Gaston !
T’auras du pain, du miel, fiston,
Du beau blé bien moulu…
Et trois coups de pied au cul.
Traduction d’une chanson roumaine, dans Le Chêne, film de L. Pintille (scénario L. Pintille) »
Marie Treps, Allons-y, Alonzo ! ou le petit théâtre de l’interjection