« Si Hitchcock filmait les scènes d’amour comme des meurtres, Burkhard photographie le corps comme un sculpteur ou comme un arpenteur. Tel un Gulliver au pays des géants, il trouve ainsi des angles qui semblent ineffables et qui, en décalant ce que nous voyons agissent sur notre regard en le transformant. »
Johan-Frédérik Hel Guedj, Burkhard et la vie sur papier, L’Echo, 9/1/2020
© Balthasar Burkhard, Torso, 1984, 222 x 125 cm, Coll. Rodolphe Janssen