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« On ne peut pas dire grand-chose des routes inexplorées. On peut seulement essayer de les parcourir, en se trompant et en s’ajustant continuellement. »

Maurizio Pallante, La décroissance heureuse 

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Commentaires

  • @ Gérard : "Je ne fais pourtant de tort à personne / En suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome"

    @ la bacchante : ... ce lien sans lequel nous ne nous retrouverions pas ici à tailler une bavette au bord de la route.

  • Sur sa route, Alexis Jenni vient d'entrer en collision avec un poids lourd, le prix Goncourt...
    Une citation :
    - "Le brouillard étend des linges froids en travers des rues, en travers des couloirs, des escaliers, jusque dans les chambres. Les draps mouillés collent à ceux qui passent, ils traînent sur les joues de celui qui marche, ils s'insinuent, lèchent le cou comme des larmes de rage refroidie, des égouttements de colères mortes, des baisers affectueux d'agonisants qui voudraient bien qu'on les rejoigne. Il faudrait pour ne rien sentir ne plus bouger."
    (L'art français de la guerre, p. 56).

  • @ JEA : Merci pour l'extrait. La critique n'a pas attendu la proclamation du Goncourt pour faire l'éloge de ce premier roman d'un prof de 48 ans - à lire, certainement.

  • @ Tania

    dans son roman, l'hommage à Paul Teitgen m'a époustouflé !

  • C'est le genre de route où l'on a envie de s'allonger, un brin d'herbe entre les dents, en regardant les nuages filer sous le zéphyr. Eviter de s'endormir, tout de même.

  • @ JEA : Quand je le lirai, j'y serai particulièrement attentive.

    @ Damien : L'espace, ciel et terre, y est grand ouvert.

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