« Léon Spilliaert n’a pas eu que l’obsession du vide (du vide métaphysique ?), il a aussi eu celle des arbres. Il en a peint, dessiné et lithographié des centaines, des milliers. Je verrais bien une rétrospective où ils seraient tous réunis et qui pourrait constituer une gigantesque forêt imaginaire sans doute unique dans l’histoire de l’art. »
Jean-Baptiste Baronian, Dictionnaire amoureux de la Belgique
Léon Spilliaert, Maison au crépuscule, 1921, Collection particulière
(Gouache, huile sur carton, 740 x 490 mm)