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galerie ombre et lumière

  • JC Schmitt en lumière

    Drôme 2021 (22).jpgSchmitt expose à Venterol ?

    Il s’agit cette fois de Jean-Christophe Schmitt (°1956), qui vit et travaille dans le Vaucluse (et non de Jean-Louis Schmitt auquel j’avais consacré un billet il y a deux ans). Pour lui, « Peindre c’est aimer à nouveau. » (Henry Miller)

    A l’affiche de la galerie Ombre & Lumière, un portrait de femme aux yeux noirs, pensive, absorbée.

    © Jean-Christophe Schmitt, Qui es-tu

    Drôme 2021 (21).jpg

    « Il y faut la couleur que la nuit a levée de l’ombre, il y faut la trame silencieuse d’un geste travaillé tout le jour. Car l’on n’abdique rien à veiller ainsi devant l’informe et bientôt cet informel que creuse un réel absorbant, visage ou paysage, fruits légendaires ou ligne sans âge comme une pelote de labyrinthe qui ne dit pas son nom et cherche son Ariane. » (Jean-Christophe Schmitt, Une toile à la mer (mécanique du peintre), juillet 2021)

    © Jean-Christophe Schmitt, Peintre et modèle

    Drôme 2021 (20).jpgLa plupart des œuvres exposées ici chantent la figure féminine et les couleurs. Quelques natures mortes, quelques paysages. Parmi ces peintures intimistes dont le sujet baigne « dans une lumière diaphane et miroitante » (Guylaine Carrot, 2013), j’ai aimé cette vue d’atelier toute en transparence. A voir à Venterol jusqu’au 10 octobre.

    © Jean-Christophe Schmitt, L’Atelier transparent