« Au-delà de traduire le souffle, auquel renvoie la pièce [Diem], cet espace vide, ce non tissé m’est apparu comme autant de promesses, de gestes à poursuivre. La possibilité de continuer l’œuvre, à laquelle la tension et l’invisible renvoient, amène à penser une forme de présence dans l’absence. Le vide n’est en rien une absence, il invite au prolongement, à la respiration. Pour permettre aux gestes de se poursuivre, ou tout au moins de favoriser cette potentialité, il me fallait repenser la structure de l’outil, l’atelier mobile. »
Elise Peroi, Absence/Présence in Ce qu'il reste de gestes, CFC Editions, Bruxelles, 2021
En couverture : Elise Peroi, Assemblée, 2017,
coton, soie peinte, 130 x 90 x 40 cm