L’été dans la rue, c’était aussi, en ce premier week-end de juillet 2019, le départ du Tour de France dans les rues de Bruxelles. Une deuxième historique pour la capitale belge qui célébrait ainsi les 50 ans de la première victoire en 1969 de notre champion cycliste national, Eddy Merckx. Un peu partout en ville, des photos souvenirs de ses exploits et les affiches de l’événement.
Il y avait du monde et de la bonne humeur ce dimanche 7 juillet au boulevard : avant le passage des équipes qui couraient contre la montre en direction de l’Atomium, surmonté pour l’occasion du drapeau français, la caravane publicitaire a attiré les curieux, habitants du quartier et fans du Tour. Les enfants, excités au passage des chars, ont attrapé ici une casquette, là un maillot de cycliste et d’autres gadgets – certains en avaient rempli leur chapeau de soleil ou leur besace. Ambiance !
Commentaires
Le tour de France partira de ma petite ville le 25 juillet. Enfant j'aimais beaucoup admirer la caravane passer et adulte, j'ai suivi pendant longtemps avec grand plaisir les étapes qui permettaient une belle découverte de la France, aux heures les plus chaudes de la journée. Mais les affaires de dopage sont passées par là et cela ne m'intéresse plus du tout.
Ta petite ville porte un joli nom, Annie ! Le Tour me rappelle mon père qui le suivait avec passion, qui aimait faire du vélo. Nous le croisions parfois sur la route des vacances en France. Bref, plein de souvenirs que réveille l'atmosphère bon enfant le long du parcours.
Oui, le dopage de certains ou les salaires exorbitants d'autres ont changé notre regard sur certains événements sportifs.
ambiance de carnaval, quand depuis les chars du cortège on jette des friandises à la foule :-)
Puisque tu es dans une phase anglophone, sache qu'on dit parle désormais (lu dans le journal) de distribuer des "goodies" - my god !
Je me souviens surtout de "la flèche wallonne" qui passait dans mon fief verviétois. Notre gouvernante étant hollandaise, elle supportait avec beaucoup de parti-pris un certain Van Geneerte, jeune cycliste de Maastricht, et nous étions les seuls avec elle, sur le parcours, à hurler Van Geneerte, Van Geneerte! au bon dernier :D
Ha ha, j'imagine bien la scène ! Avant Merckx, je me souviens surtout de Rik Van Looy qui suscitait l'engouement familial.
Je suis toujours restée en dehors de ça. Le sport en spectateur, ce n'est pas mon truc, ni mon intérêt. J'ai fait beaucoup de semi- marathon; le sport avec l'argent, pour moi, c'est pourri et pas ma tasse de thé…………...Ceci dit, j'imagine les scènes de liesse……...
Bravo pour la course. En général, on préfère suivre un sport qu'on pratique ou qu'on a pratiqué. Pour moi, ce serait plutôt le tennis… à la télévision.
Combien j'ai aimé Eddy Merckx! Et bien d'autres figures du cyclisme.
J'allais enfant avec mon père voir passer les coureurs sur les routes des Landes où ils passaient à la vitesse de l'éclair pour l'arrivée à Bordeaux ou à Pau.
J'allais aussi voir les courses locales avec lui.
J'ai toujours aimé le vélo , en faire et en voir.
Mon commentaire est interchangeable avec celui d'Annie. Le dopage, la technique venant fausser la course, le verrouillage par les leaders, le côté marchand ont eu raison de ma passion.
Quand de plus on sait qu'ils ne montrent les lieux que si les villes et villages paient, c'est un peu écœurant.
En plus le tour de France dessine un parcours qui n'épouse plus le pays, la preuve, cette année, il ignore l'ouest.
Il n'empêche, si je n'ai pas regardé, j'ai bien pensé à Bruxelles ...
Tout cela est vrai, je comprends ta position comme celle d'Annie. Les journaux ont commenté les montants "investis" par la ville et indiqué ceux des "gains" espérés… Quoi qu'il en soit, quand un tel événement se déroule tout près de chez soi, on est tout de même curieux.
Et dans le journal Sud-Ouest de ce jour,
Ce gros titre à la une, qui m'a fait penser à toi:
" LE SUD-OUEST ESPÈRE SON TOUR"
A chacun son tour ;-)