Des cartes d’anniversaire, de vœux, de vacances,
Des cartes postales, des reproductions,
Des lettres et des dessins de ses enfants, d’enfants des autres,
Du courrier en français, en néerlandais, en anglais, en allemand et même en espagnol,
Des lettres d’indignation et parfois des réponses,
Des années et des années de correspondance…
© Victor Abeloos, La rédaction de la lettre
Pour les papiers administratifs, des recommandations existent : ce qu’il faut garder et combien de temps.
Mais tous ces écrits personnels ? ces écritures ? Nous en conservons certains, d’autres vont à la corbeille à papier. Nous les trions parfois, pas toujours. Qui n’en a pas fourré dans l’une ou l’autre boite, dans un tiroir, un secrétaire, en remettant à demain une sélection plus drastique ? Qui ne s’est pas dit : un jour, je serai heureuse de la relire, cette carte, cette lettre ?
Bref, la question du jour – que garder ? – rappelle la ribambelle scolaire : qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? pourquoi ?
Commentaires
Y a-t-il une réponse à cela ? Certains brûlent tout car il faut faire place nette. On peut aussi les scanner et en faire un livret.
Courage.
Je t'embrasse.
Me voilà justement dans ce genre de questionnement... puisque je déménage ;-)
je garde les cartes qui me parlent encore d'un lieu d'une personne
pour le côté administratif : le scan et le dépôt sur un site fait pour type Laposte ou Ubic
Je suis du genre à tout garder et à relire de temps en temps. Je ne peux me résoudre à jeter.
j'ai vécu ce tri avant de déménager, mais ici c'est différent, puisqu'il s'agit de la correspondance de ta maman, je suppose...
différent et encore plus délicat...
bises et bon courage
je ne garde pas grand chose - quelques cartes d'anniversaire amusantes, quelques lettres d'une amie, mais comme je relis peu, je n'amasse pas -
J'ai soigneusement trié classé et rangé les lettres de mes parents. Celles échangées avec ma cousine, partie vivre en 71 en Italie...
Et dans une enveloppe, les cartes de ma meilleure amie.
Il me reste aussi un nombre incalculable de cartes de voeux, de cartes postales, à trier, de souvenirs pieux, à trier aussi, mais pour le moment, je n'ai pas encore eu le courage de le faire...
Et un ou deux papiers de mon mari, pour mon fils. Il en fera ce qu'il voudra. Sans compter les boîtes à chaussures pleines de photos !
C'est un travail énorme !
C'est un sujet qui me tarabuste !!! Nous accumulons tous beaucoup de choses, et plus les caves et les greniers sont grands, plus nous accumulons. J'aimerais m'alléger pour ne pas laisser quelque chose de lourd à mes filles... mais je n'ai pas encore commencé, je m'en veux ! Courage Tania, ton intuition te dira que faire... Bises. brigitte
Merci à vous toutes. La vie en appartement empêche de trop accumuler si l'on veut garder de l'espace, je me dis que je devrai trier chez moi quand j'en aurai le loisir - et la volonté.
je garde les cartes dans de jolies boîtes, des pochettes, les lettres aussi... comme mes parents et grands-parents avant moi.
Je ne garde pas tout, excepté les lettres de ma mère que j'aimerai relire le moment venu, pour la retrouver.
J'e garde cependant d'autres lettres, cartes, faire-parts, petits objets aussi, que je place dans ma "Boîte à bonheurs". Elle est orange, J'ai écrit ce titre dessus. Je l'aime...
Le reste, je le jette. Bonne soirée, Tania.
Je ne garde pas tout, excepté les lettres de ma mère que j'aimerai relire le moment venu, pour la retrouver.
J'e garde cependant d'autres lettres, cartes, faire-parts, petits objets aussi, que je place dans ma "Boîte à bonheurs". Elle est orange, J'ai écrit ce titre dessus. Je l'aime...
Le reste, je le jette. Bonne soirée, Tania.
@ Maïté/Aliénor : As-tu gardé celles de ceux qui t'ont précédée ? Une jolie boîte, voire deux, trois..., c'est ce qui convient le mieux sans doute.
@ Annie : Comme toi, je conserve certaines lettres et cartes de grande amitié, et bien sûr l'écriture maternelle et les mots doux. Bonne soirée, Annie.
Scanner ? Les articles de presse, peut-être...
Mais pour ce qui fait partie du cœur, la texture, la moucheture sur le papier, la couleur, l'odeur, tout brûler pour une image insipide comme l'oubli ?
D'une génération à l'autre, ces écrits passent - ce que ne feront sans doute pas les courriels archivés sans être imprimés.