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Jeune homme

 Oorlog Soldat se recueillant.jpg
 © Linda Van der Meeren

Oorlog citation Aragon.jpg

 

 

 

 

Commentaires

  • Merci à Tania d’avoir donné une place spéciale à cet émouvant tableau de Linda que j’ai bien connue dans ma jeunesse … Nous éprouvions une grande sympathie l’un pour l’autre …

    Cette œuvre est poignante, bouleversante même : le compagnon de l’ami enterré, avec son manteau et son écharpe en lambeau, se recueille avec douleur devant la croix misérable, plantée dans un sol meurtri, avec comme seule couronne du fil de fer barbelé, dans un vent de tempête aussi violent et ravageur que ne le fut cette guerre …

    Réaliserons-nous jamais le déchirement de ce jeune devant son ami de guerre dont les liens affectifs sont devenus plus forts que ceux qu’il éprouve pour ses plus proches …

  • @ Doulidelle : Merci d'avoir exprimé ici ta vision de cette œuvre et ton émotion, Doulidelle. Bon week-end à tous les deux.

    @ Adrienne : Au bas de cette scène émouvante, les souvenirs des soldats morts rappellent comme ils sont nombreux, ces jeunes gens qui n'en sont pas revenus, comme le grand-oncle dont tu parlais récemment : http://adrienne.skynetblogs.be/archive/2014/10/12/i-comme-immortalise-8303391.html

  • C'est un dessin bouleversant et le poème d'Aragon tout autant. Tous ces jeunes hommes au destin fauché ..

  • @ Aifelle : N'est-ce pas ? Une expo qui leur rend bien hommage, cent ans après.

  • Et bien avec des billets comme celui-ci, nous, nous allons revenir.
    Très réussi bravo.

  • Cet extrait terrible est exactement le thème d'un prochain compte-rendu sur "Yellow birds" témoignage romancé d'un GI américain en Irak.
    Grâce à vous j'ai un peu visité cet expo, je n'ai pas encore vu celle de la gare des Guillemins, je manque décidément à tous mes devoirs de mémoire... À ma décharge, je visite régulièrement le mémorial de Cointe à deux pas et l'enclos de fusillés de la Citadelle, endroit paisible où l'on entend chanter les oiseaux.

  • J'attends de lire votre compte rendu, la guerre continue ses ravages partout où on la laisse pousser ses griffes, hélas.
    Le chant des oiseaux, les arbres, ce sont les vivants qui jouissent de cette paix, et qui se souviennent.

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