« Je ne puis plus me passer de les regarder vivre, de mesurer leurs gestes, de surprendre leur moindre déplacement dans le paysage. Leurs journées ont remplacé les miennes et l’écho de leurs voix résonne au fond de mes nuits. J’ai su dès le premier instant qu’une lancinante menace plane sur ce tableau de la jeunesse, de la beauté et du bonheur. Quelque chose va se passer ici, enfin, dont je serai le témoin inéluctable. »
André-Marcel Adamek, Le maître des jardins noirs
Commentaires
Nous voilà prévenus :-)
Cette citation confirme ce que j'ai dit dans mon commentaire de ton billet précédent ! Je vais voir si je peux trouver ce livre.
@ Adrienne : C'est clair.
@ Margotte : Bonne pêche !