« Il est incroyable qu’aucun chemin ne se fraie d’un être à un autre. Un chemin ténu, une voie minuscule par où voyagerait vers l’autre une petite pincée d’inquiétude. Une infime miette d’inquiétude, qui suffirait pour troubler son sommeil. »
Sándor Márai, Le premier amour
Portrait de Sándor Márai par le peintre hongrois Lajos Tihanyi en 1924
Chères lectrices, Chers lecteurs,
Pour vous tenir compagnie,
je vous ai préparé quelques billets
au croisement de la peinture et de la littérature.
A bientôt, au plaisir de lire vos commentaires.
Tania
Commentaires
Infiniment inquiétant ce court extrait.
Tu pars sans doute découvrir d'autres routes, ramène-nous... de tout.
Bonnes vacances, un beso fuerte.
Je comprends l’inquiétude de Colo … mais ne la partage pas … Il y a tant de chemins « qui se fraient d’un être à un autre » … Tout dépend de l’état d’esprit … d’ouverture, de « bonhomie », d’accueil … même sans retour … et la « petite pincée d’inquiétude », elle fait partie de la vie de tous les jours, il faut s’en accommoder … "faire avec" ... avec optimisme ...
Bonnes et fructueuses vacances à Tania ...
Merci de me faire découvrir cet auteur, je sens que j'aimerais m'abandonner à la musique de ses pensées ...
Bonnes vacances Tania, reviens-nous avec ta besace pleine de belles lectures, de méditations et de peinture, comme tu sais si bien faire.