« Ce que nous avons intensément désiré finit presque toujours par advenir une fois ; mais telle est l’insatisfaction perpétuelle du cœur que nous ne le reconnaissons pas, ou que ce qui advient ne paraît plus correspondre au rêve qu’on en fit. »
Michel de Ghelderode, Incipit du Jardin malade (Sortilèges et autres contes crépusculaires)