« Mais depuis qu’Emmanuel est mort, elle ne se contente plus d’habiter mes rêves, cette fille. Elle pousse en moi, contre mes flancs, elle veut sortir et je sens que, bientôt, je n’aurai plus la force de la retenir tant elle me hante, tant elle est puissante. C’est elle qui envoie le garçon, c’est elle qui me fait oublier les mots, les événements, c’est elle qui me fait danser nue. »
Nathacha Appanah, Rien ne t’appartient
Commentaires
Bel extrait, puissant comme l’image d'elle qui hante, habite.
Merci, bon week-end Tania.
Bon week-end à toi aussi, Colo.
Je ne connais pas du tout; ce que tu en donnes à lire, me plaît bien!!!
bon week-end à toi!
A toi aussi. Bonne lecture si tu ouvres ce roman.