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Au-dessus de Vienne

Flem Freud Hachette.jpg« Lorsque ses enfants* l’accompagnent, Freud égaye leur marche en racontant des histoires. Ils affectionnent particulièrement celle de la grand-mère du diable qui, donnant une réception, avait préparé sur un plateau son plus beau service à café, qu’elle laissa tomber juste au-dessus de Vienne, en survolant un quartier qui se nommait Franzjosefkai et qui depuis compte sur ses toits un nombre très important de cheminées et de motifs divers. »

Lydia Flem, La vie quotidienne de Freud et de ses patients

*Source : Martin Freud, Freud, mon père, 1975
Illustration : Couverture originale, 1986

Commentaires

  • C'est drôle cette histoire!!!
    J'aime ça justement dans Jung dont je parlais dans ton dernier article. Et les contes racontés par Claissa Pinkola Estes (jungienne) dans Femmes qui courent avec les loups!

  • N'est-ce pas ? Merci pour cette référence. Bonne journée, Anne.

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