« Ils squattaient un ancien entrepôt de tissus, c’était plutôt accueillant, après ce que j’avais connu au pensionnat. Il suffisait de se choisir une chute à son goût, couleurs, texture, et de se faire un petit coin douillet. J’étais heureuse de découvrir la vie à leurs côtés, c’était ça de pris sur mon programme, je méritais bien de commencer par les vacances, après mes années de douleur. Je m’inquiéterais de la suite à donner à mon existence quand je serais prête. »
Catherine Meeùs, Olga, ou la fragilité de l’insouciance
Commentaires
Rien de plus douillet que le tissu :-)
Parole d'experte. A suivre.
Merci Tania pour ce joli début de texte.
Bisous ♥
Tant mieux si ce paragraphe t'a plu. A bientôt, Denise.