« Quelle vie doit-on mener ?
La vie que l’on aime. »
Virginia Woolf, Journal (Jeudi 24 mars 1932)
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« Quelle vie doit-on mener ?
La vie que l’on aime. »
Virginia Woolf, Journal (Jeudi 24 mars 1932)
Commentaires
C'est simple, mais pas toujours facile ou même réalisable ..
T u vas me donner, je le sens, l'envie de relire cette auteure mélancolique mais hélas suicidaire.....
@ Aifelle : En effet. Mais quand on a le choix, autant vivre à sa mode, plutôt qu'à celle des autres, non ?
@ Alezandro : Hélas. J'avoue qu'en avançant dans le Journal, je pense de plus en plus à sa fin. Mais dans ces années trente, Virginia Woolf ne comprend pas le suicide de Carrington, elle tient énormément à la vie, malgré les épreuves. Bon week-end sans mélancolie, Alezandro.
voilà une pensée qui semble très juste et dont on pourrait pourtant longuement débattre ;-)
La vie que l’on aime n’est pas facile à mener ! --- Tant d’embûches nous y attendent ; il est nécessaire d’adopter un positivisme et une philosophie de « ça ira mieux demain », minimiser les aléas du jour et oublier celles du passé. ---
Voilà la simplicité. Et venant de Virginia Woolf, cette phrase prend tout son sens.
Je vous embrasse. Bon dimanche.
@ Adrienne : Tu as raison, on peut l'interpréter de tant de façons (un bon sujet de dissertation ;-). Pour V. W., dans ce passage, c'est l'aspiration à une vie plus simple, moins mondaine, à l'écart des conventions.
@ Doulidelle : Oui, cultiver une pensée positive, rester optimiste, tu ne cesses d'en donner l'exemple. A bientôt sur ton site, où ton dernier billet m'intéresse beaucoup (un lieu de bons souvenirs pour moi, douloureux pour toi).
@ Bonheur du Jour : Bon dimanche à vous, un baiser de merci, j'irai bientôt tourner vos pages.
C'est effectivement plus simple à dire qu'à faire...mais on peut déjà commencer par réserver des moments dans la semaine pour faire des choses qu'on aime vraiment, qui nous passionnent. C'est déjà un bon début. Bon dimanche Tania.
Un cap à garder, oui. Ces moments où l'on se ressource sont vitaux.
Bon dimanche, petit Belge.
Il faut avoir un peu de courage parfois pour se rendre compte qu'on est engluée dans une vie qui n'est pas la nôtre et s'en défaire. Mais ça vaut la peine.
Merci de l'écrire, Valérie. Il est vrai que ce n'est pas si facile.