« J’arrivais sur le plongeoir. Je me dirigeais vers la plateforme, tout au bout. La petite bande y était déjà. Elle ne m’accueillait pas, moi hélas, avec les injures amicales qu’elle avait coutume de lancer aux tard-venus. J’avais trente ans. J’étais déjà un vieux. Ils me traitaient avec une nuance dont je me serais bien passé. »
Robert Merle, Dernier été à Primerol