Au bonheur des passants : la grille originale d’un œil-de-bœuf, aperçue en attendant le bus (en route pour le Mont des Arts).
« Quiconque a fait le premier pas peut apercevoir sur sa route des choses délicieuses, sans perdre une minute de son temps. Discerner ainsi ce qui nous entoure n’a rien de fatigant ; au contraire, cela revigore et rafraîchit le regard, mais aussi tout le reste. »
Hermann Hesse, Propos sur les joies modestes de l’existence (L'art de l’oisiveté)
Commentaires
Mais oui, marcher-regarder et voir, voir surtout.
Le "n'a rien de fatigant" me fait sourire!
Belle journée.
« Propos sur les joies modestes de l’existence » m’incite à convier les lecteurs de Tania sur mon blog d’hier (cliquer sur doulidelle) qui relate la joie profonde du silence et du recueillement dans l’abstraction pure que nous avons ressentie lors de notre « pèlerinage » au temple Ryōan-ji et son jardin de gravier blanc … En ces temps du « rire à tout prix » et de « torture des tympans », les moines (bouddhistes ou chrétiens) nous invitent à la « sérénité du silence » …
Beau coup d'oeil (de boeuf)!
. Tout d abord en cliquant sur le titre, j espérais trouver une horloge au cadran rond ou ovale comme il en existait partout autrefois, car pendant mes loisirs je répare les pendules.Mais la surprise fut heureuse, comment ne pas s étonner devant une telle oeuvre d art pour protéger le petit nid douillet de quelques étudiantes.
Bonne soirée Latil