Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sous une lampe

« Sous une lampe de bureau, des feuillets couverts d’une écriture bleue et régulière s’étalaient en éventail. C’était un roman. Mon désir d’écrire se confondit dès lors avec celui de ce silence hivernal, de cette pièce trop chauffée et de ce thé dont la dame à intervalle régulier remplissait une tasse bleue et blanche qui portait sur son bord d’or la marque sanglante de ses lèvres fardées. »

 

Gilles Brochard, « Quand le désir d'écrire vint à Jacques Almira », Le Thé dans l’encrier

 

Service à thé en porcelaine de Longwy.jpg

Commentaires

  • Il y a quelques années, j'avais écrit une note légère - aujourd'hui nous dirions un billet d'humeur - sur les écrivains "café" et les écrivains "thé", comme, du reste, il y a des écrivains "bière, et des écrivains "vins". Les écrivains "vains", quant à eux, ne se comptent plus.

    (Toujours un immense plaisir d'arpenter vos pages)

  • Pour moi c'est thé définitivement si possible "lapsang souchon" j'en boirai une tasse aujourd'hui en passant à ce livre merci Tania

  • Outre ses vertus de convivialité et de rituel, le thé vert, breuvage ancestral des asiatiques, est un cadeau des dieux pour faciliter les digestions laborieuses des humains et pour combattre les agressions virales et microbiennes de leurs climats facétieux …

    Sa consommation quotidienne de plus d’un litre permet à l’octogénaire que je suis, qui l’associe à une douche glacée matinale suivie d’un bain chaud, de ne jamais connaître les inconvénients que nous réservent ces empêcheurs de vivre agréablement que sont refroidissements, toux, rhumes, grippes etc. …

  • Oui, je vous recommande le thé vert à l'Aloa Vera, c'est très rafraîchissant. Votre blog aussi fait du bien !

Écrire un commentaire

Optionnel