« L’austérité et le dépouillement de ce jardin recouvert de sable blanc, avec juste quelques pierres posées çà et là, ne manquaient pas d’émouvoir le spectateur.
Dire que cela était « joli » ou « beau » ne convenait pas vraiment pour décrire ce spectacle d’une haute spiritualité. »
Yasushi Inoué, La mort, l’amour et les vagues
Commentaires
Doulidelle, vous me manquez.
Splendide !