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Entre parenthèses

Chers visiteurs & amis de Textes & prétextes,

 

Le blog restera entre parenthèses cette semaine,
pour raisons familiales.
Merci pour vos fidèles passages et commentaires.
A bientôt.

 

Tania

Commentaires

  • Comme Aifelle et Adrienne j'espère que c'est une parenthèse sans gravité. Nous pensons bien à vous. Vous nous manquez déjà...

  • Je souhaite que rien de trop fâcheux ne vous arrive. Mes meilleures pensées vous accompagnent.

  • Merci, Aifelle, Adrienne, Gérard, Zoë, Dominique, Colo, Claude, Margotte, Christw, Keisha, pour vos mots d'encouragement. Le miroir que j'ai choisi pour illustrer la phrase de Montaigne samedi dernier, c'était celui de ma belle-mère, qui s'est éteinte à l'âge de 98 ans. Nous l’avons accompagnée hier à sa dernière demeure.

    Montaigne encore : « Ne nous flattons pas de ces beaux mots : on doit, peut-être, plutôt appeler naturel ce qui est général, commun et universel. Mourir de vieillesse, c’est une mort rare, exceptionnelle et extraordinaire et, par suite, moins naturelle que les autres ; c’est la dernière et l’extrême sorte de mort : on peut d’autant moins s’y attendre qu’elle est plus éloignée de nous ; c’est bien la borne au-delà de laquelle nous n’irons pas : la loi de nature a prescrit qu’elle ne soit point dépassée ; mais elle a ce rare privilège de nous faire durer jusque-là. »

    (Les Essais, chapitre LVII, « Sur l’âge »)

  • j'espère que ce n'est pas grave cette pause familiale - je croise les doigts pour toi et ta famille

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