« On ne connaît pas Turin et l’importance de sa cour. On pense surtout à Venise, Rome, Florence. Cette exposition à Bruxelles est nécessaire pour montrer qu’à Turin existait un goût international, qu’on savait regarder vers l’Europe, ne fût-ce qu’au travers des liens dynastiques. Et cela se voit dans la peinture. »
Carla Enrica Spantigati, commissaire de l’exposition Da Van Dyck a Bellotto
(propos recueillis par Xavier Flament, Bozar magazine, Bruxelles, février 2009)
Commentaires
Nietzsche va être content.